lundi 20 juillet 2009

Leurre

Je me mens à moi-même, c'est pitoyable!

vendredi 17 juillet 2009

Profession : Briseuse de coeurs (la suite)

Tout est bien qui finit bien.

Peut-être certaines d’entre vous s’en souviennent, dans le dernier billet que j’ai supprimé, j’ai fait la mention de J., un garçon avec qui je travaille et avec qui j’allais prendre un verre. La soirée s’est très bien déroulée. On s’est même revus la semaine suivante au Festival d’été. Encore une fois, très belle soirée. On s’entend très bien, on rit ensemble, on fait tous les deux beaucoup de sports (et tous les deux, on fait du Tae Kwon Do, c’est charmant!).

La soirée est plaisante, on finit même par s’embrasser. Jusque-là, pas de problème, c’est juste comme ça. Le lendemain, au travail, évidemment, ça se met à jaser. Vous voyez, je travaille pour le gouvernement fédéral, donc je suis entourée de fonctionnaires avides de potins.

J. et moi on agit comme si on se fréquentait, mais discrètement. Je veux dire, on s’est vus deux fois en dehors du bureau, on s’est embrassés, mais ça ne signifie pas beaucoup de choses. La journée passe, je retourne chez moi, on ne se voit pas pendant la soirée.

Et je me mets à réfléchir. Je m’entends très bien avec J. Mais je ne me vois pas aller plus loin avec lui que le stade de l’amitié. C’est sûr, on ne s’est pas fréquentés beaucoup, mais je le sens. C’est comme ça, c’est tout. Quand j’ai un garçon dans la peau (wow, quelle expression!), je ressens les fameux papillons au ventre, je pense sans cesse à lui, j’ai les mains moites et le cœur qui bat la chamade. Oui, je pense à J. Mais pas de cette façon. Je ne suis pas impatiente de le revoir.

Oups. Il faudrait bien que je lui en parle. Question que ça n’aille pas plus loin et que lui ne demande pas plus de moi. Le lendemain matin, j’envoie un courriel à J. lui demandant s’il a deux minutes pour discuter. On se rejoint à son étage, à l’abri des regards indiscrets et je lui fais part des mes réflexions.

Bang. Je crois bien avoir frappé un mur. Je l’ai déçu. Terriblement déçu. Je sens qu’il est peiné. Et je me sens moche, terriblement moche de lui causer de tels sentiments! J. me boude un peu, ne veut pas me voir ni me parler. Bon, cela se comprend. Mais son petit manège commence à durer longtemps… pourtant, on ne s’est vus que deux fois! Ce n’est pas comme si on avait bâti quelque chose ensemble après un an de fréquentations! Je tente de lui reparler sur MSN et par courriel, de lui réexpliquer tout cela. Et c’est seulement hier soir qu’il a digéré le tout. Quel soulagement! J’avais l’impression de perdre une personne qui pourrait être un excellent ami.

Aujourd’hui, au travail, nous avons échangé un nombre incalculable de courriels. Et j’étais très contente. Tout est revenu à la normale. J. c’est tellement un bon ami pour moi! On dirait presque un grand frère!

mercredi 15 juillet 2009

Profession : Briseuse de coeurs

Et je n'aime pas mon travail.

vendredi 10 juillet 2009

Identité

J'ai tout simplement effacé le dernier message, car je n'ai pas envie que certaines personnes aient accès à mon blogue et lisent le dernier post.
Je me suis rendu compte qu'en tapant mon prénom dans Google, l'adresse du blogue apparaissait en premier ou en deuxième. Pourtant, j'ai bien pris la peine de supprimer toutes les informations relatives à mon prénom et à mon nom de famille.
Savez-vous comment remédier à cette situation?
Je ne vous écris pas plus longtemps, j'ai un examen qui m'attend demain matin (oui oui, un samedi matin!). J'ai pris un cours d'été pour m'avancer dans mon bac et l'examen final est demain.