dimanche 27 décembre 2009

Les heures s'égrènent

Demain matin, 10h, je quitte ma ville vers Montréal pour me rendre à l'aéroport. Mon avion décolle à 19h10. J'arrive à Paris le lendemain matin, 7h10, heure de la France. Et l'aventure pourra commencer.

Je viens tout juste de terminer mes bagages. Ma valise est énorme et il est certain que je paie un surplus. Mon gros sac à dos de 60 litres est super léger, c'est vraiment agréable de le porter sur le dos.

Mon amie Mahé arrive chez moi ce soir. Elle arrive de chez elle, de la Gaspésie. Elle embarque avec moi jusqu'à Montréal. Et on décollera ensemble.

Je ne réalise pas encore que c'est mon départ. J'en parle à mes amis, à ma famille, à mon entourage et l'on dirait encore qu'il s'agit d'un projet qui se réalisera dans longtemps. Probablement qu'une fois assise dans l'avion, j'inspirerai un bon coup et je réaliserai que je vais bientôt commencer à enseigner à des petits Français.

J'ai ouvert mon blogue de voyage. Vous pouvez aller le lire et me laisser des commentaires :

http://odyssee-de-meb.blogspot.com/

La prochaine fois que j'écrirai ici, je serai probablement dans ma chambre en résidence universitaire!

mardi 22 décembre 2009

La plus belle ville, c'est Québec

À 7h00 le matin, c’est agréable de se promener dans les rues du Vieux-Québec.

Il fait encore noir, la ville est endormie et les lumières de Noël scintillent encore dans la nuit.

Par le fait même, je termine avec A+ mon cours de Gestion de la classe I.

dimanche 20 décembre 2009

Je grimpe et j'aime

Samedi soir, j’avais un autre rendez-vous. C’est vrai, on dirait que je les collectionne cette année! J. (encore un autre J. !) est un garçon que j’ai rencontré dans un de mes cours à l’université. Il s’est décidé à me parler au tout dernier cours après notre examen final. Depuis, on a échangé beaucoup de courriels et on s’est parlé quelques fois sur MSN. Vendredi soir, nous avons décidé d’aller faire de l’escalade ensemble. Oui mes amis, de l’escalade ! Sport que je n’avais pas pratiqué depuis plusieurs années. J’avais vraiment la trouille et j’étais très stressée. Je m’imaginais en train de paralyser devant une prise que je ne pouvais atteindre. Toutefois, tout s’est très bien déroulé et je peux même vous dire que je suis bonne ! Et j’ai adoré cette expérience même si mes bras sont douloureux aujourd’hui. J. a pris quelques clichés de la soirée d’escalade. Lorsque je recevrai les photos, j’en mettrai quelques-unes ici.

Pour en revenir à J., c’est un gars tellement intéressant ! Ça fait longtemps que je ne suis pas sortie avec un homme qui a autant de jasette, qui est intelligent, drôle et attentionné. Franchement, ça fait différence des autres dates que j’ai eu ces derniers mois. Le seul hic, c’est que nous ne nous reverrons pas avant mon retour à Québec à la mi-mai. Lui part demain une semaine pour le Honduras. Il revient le 28 décembre en soirée, mais moi je quitte le Québec le 28 décembre en soirée pour Paris jusqu’au 16 mai.

Eh bien ! Nous allons rester en contact pendant mon stage à l’international. Et nous verrons à mon retour.

jeudi 17 décembre 2009

Les vacances

Ça y est, j’entame les vacances de Noël de plain-pied.

J’ai terminé ma session mardi le 15 décembre à 10h30. M. et moi sommes ensuite parties à Montréal pour aller récupérer notre visa au Consulat de France. Cela faisait 3 années que je n’avais pas mis les pieds à Montréal. Je m’étais ennuyée de cette ville? Plus ou moins. J’aime bien le centre-ville. Toutefois, une chose m’agresse au plus haut point : la quasi-absence de la langue française. Je n’ai pas entendu une seule personne parler français autour de moi. Montréal, c’est une ville anglophone. Je sais qu’il y a beaucoup d’allophones à Montréal, mais le choc a été fort. Nous nous sommes arrêtées au Starbucks et c’est tout juste si les employés ne s’adressaient pas aux clients en anglais d’abord! Je parle peut-être à travers mon chapeau, mais je suis persuadée que certains citoyens, qui parlent français, ne se donnent pas la peine de parler français, qu’ils répondent en anglais aux gens qui les servent.

J’ai 2 petites théories à ce sujet :
- Par paresse, tout simplement;
- Parler anglais est mieux perçu.
Vous me direz ce que vous en pensez.

Je parle très bien anglais, mais il est impossible pour moi de ne pas parler français en terre française! Par pure conviction.
J’entame aussi les vacances des Fêtes, car hier soir avait lieu la soirée de fin de session avec les gens de mon bac. Nous avions loué une salle (nous étions 19) et nous avons fait un souper fondue chinoise et raclette. C’était bien, surtout parce que les groupes commencent à se mélanger. Pendant 3 ans, nous nous sommes tenus surtout avec les mêmes cliques, mais aujourd’hui, nous commençons à nous mélanger. C’est un peu ironique. Nous terminons nos études bientôt et nos prochains stages sont éloignés les uns des autres, en ce sens que nous sommes 5 à aller le faire en France et que plusieurs autres le feront en région. Nous allons tous nous revoir dans très longtemps!

J’ai enfin terminé de stresser avec ma session! Je travaille jusqu’au 24 décembre, puis il ne me restera qu’à faire mes valises.

Au revoir Québec, bonjour Paris!

Encore 11 dodos!

lundi 14 décembre 2009

Ma vie d'ici les prochains mois

C'est comique, l'ensemble de mes amis et presque la totalité de ma famille croient que je vais revenir à Québec en couple avec un Français après ma session d'études à Paris.

mercredi 9 décembre 2009

La peur, l'effroyable peur

Elle se défile, car elle a peur.

Elle se cache, car elle ne sait comment réagir.

Elle se méfie, car la maladie est sournoise.

Mais que dire de la mort?

Elle s'enferme, car elle ne sait comment aider les gens qu'elle aime.

Elle a peur de blesser, de faire de la peine.

Quels mots éviter? Lesquels murmurer pour apaiser la douleur?

Le temps file, défile, court, puis s'enfuit. Quels moments partager avec lui?

Que désire-t-il? La solitude? La compagnie? Les mots d'encouragement, même si l'on sait tous que dans sept mois, il sera probablement au ciel?

Faut-il se leurrer? Se laisser berner par l'espoir? Doit-on affronter la réalité?

Que faire pour lui dire qu'on est là?

Même si la peur et la maladresse parcourent mon corps, prennent possession de mon âme, je suis présente de tout mon coeur.

lundi 30 novembre 2009

Une folie de rêve

Qui est présentement dans la salle d'attente pour se procurer des billets de U2 pour leur spectacle à Montréal le 17 juillet 2010?

Moi!

EDIT : J'ai réussi, de peine et de misère, à acheter mes quatre billets. En fait, puisque je suis présentement au travail, c'est ma mère qui attendait sur mon ordinateur à la maison pour les acheter. Au moment où c'était son tour dans la file d'attente, leur système a commencé à disjoncter et à dire qu'on ne pouvait accéder à ma requête. Quoi? Je suis dans la file depuis 7h30 ce matin!
J'ai donc essayé, par un autre chemin, d'acheter les billets à partir de mon poste de travail au bureau. Et cela s'est fait en une minute! Quatre billets sur le parterre. Wow, je n'en reviens pas; moi qui vais assister au spectacle de U2! Je suis tellement heureuse!

lundi 23 novembre 2009

Ma vie dans une boule de cristal

À la pause tantôt, vers 10h, une collègue me tirera aux cartes.

Et cela m'intrigue au plus haut point.

jeudi 19 novembre 2009

L'approche des Autres

Ma mère et moi sommes en train de terminer notre repas au restaurant.

Un homme se lève, met son manteau et s’approche de notre table. Il me regarde et dit : « Excusez-moi de vous déranger, mais je voulais vous dire que vous êtes absolument ravissante. Je vous regardais tout à l’heure et vous pourriez être mannequin ».

Bon sang. Je ne sais combien de « merci » sont sortis de ma bouche!

Détrompez-vous, les intentions de l’homme n’étaient pas malsaines. Il était simplement gentil. Gentil comme rarement le sont les gens de nos jours. Et de notre société. Il est rare qu’un inconnu en aborde un autre. Souvent par peur de pénétrer la bulle de l’autre, de l’importuner. Il est vrai, nous sommes bien dans notre petit monde fermé.

Moi aussi je n’aborde pas les inconnus. Et je n’aime pas trop me faire aborder par eux non plus. Mais lors de cette soirée, j’ai pris conscience qu’un compliment, dit d’une certaine façon, peut faire extrêmement plaisir.

Mon comportement trahit souvent mes pensées. Si quelqu’un m’embête, c’est immanquable que mon visage laisse transparaitre que la personne m’importune. Sans penser aux conséquences que cela pourrait engendrer. Peut-être suis-je en train de blesser cette personne.

Depuis cette soirée au restaurant, j’essaie de sourire plus aux personnes inconnues que je croise dans la rue. J’essaie de me montrer plus aimable avec les gens qui m’agacent. Et je me sens un peu devenir une meilleure personne.

samedi 14 novembre 2009

Pire rendez-vous de toute ma vie

Je suis sortie avec P.-É. hier soir. Ce fut presque une catastrophe. Du moins, de mon point de vue.

Pour commencer dans la catégorie « je suis déçue », on avait convenu que c’était son tour de choisir l’activité, puisque c’est moi qui avais trouvé les autres. Alors on jase ensemble sur MSN et il m’apprend qu’il n’a rien trouvé. Moi, j’adore les gens qui ont plein d’activités à proposer, j’aime voir ce qu’ils adorent faire. Je crois qu’on découvre une personne entre autres par les activités qu’elle pratique. Donc, pour résumer, il n’avait rien trouvé et moi, de mon côté, j’avais annulé une soirée de salsa au bar le Maurice qui s’annonçait des plus divines, et ce, juste pour lui!

J’ai donc proposé qu’on aille patiner. Il a refusé.

J’ai alors émis la suggestion d’aller marcher dans le Vieux-Québec et de s’arrêter boire café dans une brûlerie.

La soirée a quasiment été un enfer pour moi! On aurait dit que je me promenais avec un enfant, alors qu’il a 27 ans! Je vous explique.

Il s’est arrêté devant toutes les vitrines de tous les magasins, mais sans jamais entrer dans l’une d’elles, puisqu’elles étaient fermées en raison de l’heure.

Il n’a pas de conversation. Et puis, laissez-moi vous dire qu’essayer de parler pour deux personnes à la fois, c’est dur!

Et le pire dans tout ça, tenez-vous bien, vous n’en croirez pas vos yeux : il imitait le bruit de tous les canons que nous avons croisés! Oui, oui, je vous assure. De même que le bruit des armes à feu.

J’avais tellement hâte de retourner chez moi!

Le seul point positif dans toute cette histoire, c’est que le café que j’ai bu était très bon et vraiment sucré comme je les aime.

Non sans blague, le vrai point positif, c’est que je sais maintenant ce que je veux avec lui : rien. Notre relation était ambiguë jusqu’à cette sortie, surtout que je pars pour la France dans une quarantaine de jours pour ne revenir qu’à la mi-mai.

mardi 10 novembre 2009

Je crie, mais il ne m'entend pas

Pourquoi mes rêves sont-ils encore peuplés de sa présence?

Lorsqu’il apparait dans mes songes, je me gonfle de colère, je lance des insultes.

Je lui crie les mots trop lourds qui pèsent sur mon cœur, ces mots que je n’ai jamais pu lui dire.

Ma colère est telle que je me réveille les poings serrés, les ongles enfoncés dans ma chair.

Après un an, je n’ai toujours pas réussi à passer à travers cette rupture, je n’ai pas réussi à éliminer cette rage, cette frustration qui bouillonne encore en moi.

lundi 9 novembre 2009

Je suis une petite fille

J’ai couru dans les feuilles d’automne qui jonchaient le trottoir ce matin.

Elles craquaient sous le poids de mes pas.

Et j’aimais ça.

jeudi 5 novembre 2009

Je renoue avec moi-même

Et avec la peinture.

Je peins une toile à l'acrylique pour l'anniversaire de ma mère. Ça doit faire environ un an que je n'ai pas touché à mes pinceaux. Bien sûr, j'ai fait quelques dessins par-ci, par-là, des cartes d'anniversaire dessinées, mais pas de peinture depuis de nombreux mois.

Et ça fait du bien de manier à nouveau mes pinceaux. C'est un sentiment agréable que j'avais complètement oublié, enfoui quelque part sous toutes les autres choses prioritaires que je devais faire. Toujours de bonnes excuses...

Je n'en suis encore qu'à boucher les trous de ma toile, mais ça prend vie. Mélanger les couleurs, donner de la texture à la toile, c'en est presque exaltant!

mardi 3 novembre 2009

Aberration gouvernementale

Contextualisation :

Lundi 2 novembre 2009, 12h15.
Cafétéria de mon travail.

J’attends patiemment dans la file pour réchauffer mon plat au micro-ondes et je commence à jaser avec une dame qui a déjà été ma gestionnaire.

Son tour arrive pour réchauffer son plat. Elle fige devant le micro-ondes. Quelques mouvements d’hésitation de sa main devant les touches du micro-ondes et elle se retourne vers moi, l'air désemparé : « Mlle B., pourrais-tu m’aider? »

Quoi? ELLE NE SAIT PAS COMMENT FAIRE FONCTIONNER LE MICRO-ONDES et elle est gestionnaire pour le gouvernement fédéral! Allo?

Qui plus est, c’est la deuxième fois en quelques mois que je la vois aux prises de difficultés devant le four à micro-ondes.

Aberrant.

vendredi 30 octobre 2009

Retour sur la soirée

La soirée s’est bien déroulée, P.-É. et moi avons toujours une belle complicité. Un peu de nervosité dans l’air, puisque l’on se retrouvait dans un cadre différent de « entre amis », mais c’était plaisant quand même.

Il est arrivé chez moi vers 19h30 comme prévu. J’aime la ponctualité, merci. Parle un peu avec mes parents, puis l’on se dirige vers le Vieux-Québec. Nous n’avons pu aller prendre un verre au restaurant Loews Le Concorde, car tout le restaurant était réservé pour une soirée.

Bon, on sort le plan B. Bien sûr, j’avais prévu un plan B, que croyez-vous! Le cousin de ma mère a un restaurant dans le quartier Saint-Roch : Le Largo Resto-Club. C’est un restaurant chic, peut-être même plus que le Concorde, où il y a souvent des spectacles de Jazz.

http://www.largorestoclub.com/
Allez faire un tour sur le site Internet, ça vaut vraiment la peine.

Alors, comme dans les films, nous avons pris un verre au bar du restaurant. J’ai bu en premier un khir aux framboises, puis un café flambé espagnol. C’était délicieux.

Nous avons parlé de plein de sujets. L’ambiance était détendue et chouette. Mais pour l’instant, je ne sens pas la « flamme amoureuse ». Je sais, il est un peu tôt pour ça, mais parfois ça se sent dès les premiers contacts.

Je suis revenue à la maison un peu avant minuit, parce qu’il travaillait de bonne heure le lendemain matin.

On se revoit samedi soir, pour le party d’Halloween. J’ai hâte de voir le déroulement de notre « histoire ». Je crois que P.-É. a l’air assez intéressé par moi. Il sait très bien que je pars dans deux mois pour ne revenir qu’à la mi-aout, mais je sens qu’il serait prêt à m’attendre.

Nous verrons bien ce qui se passera, je laisse les choses aller, tout simplement.

Oh et dernier point : j’ai terriblement mal dormi. J’appréhendais la réaction de mes parents le lendemain matin. Je me demandais vraiment comment ils l’avaient trouvé. Finalement, j’étais nerveuse pour rien; ils l’ont trouvé correct. Un poids de moins sur les épaules!

jeudi 29 octobre 2009

Un garçon et une fille sortent ce soir

J’ai un rendez-vous ce soir à 19h30.

Un rendez-vous galant, par-dessus le marché!

Malheureusement non, pas avec mon professeur de salsa (voir le dernier billet). Avec P.-É., un ami du copain d’une amie. On s’est vus quatre fois, mais toujours en groupe.

Ce soir, nous serons seuls. Nous allons prendre un verre ensemble. Et pas n’importe où. Au restaurant Loews Le Concorde. Est-ce que c’est mon idée? Bien sûr. Bourgeoise, sors de ce corps!

Je ne suis pas nerveuse pour ce soir. On s’entend déjà bien et on a une belle complicité. Vous savez, cette chimie qui passe entre deux personnes qui peuvent s’agacer interminablement? Oui, on se bave l’un l’autre et c’est comique. Mais peu importe, moi j’aime ce genre de relation.

Comme je l’ai écrit, je ne suis pas nerveuse, mais j’anticipe toutefois un peu le moment où il franchira la porte de ma maison. Le moment où mes parents le verront. Depuis la saga de J., j’ai vraiment peur de tout ce qu’ils peuvent dire sur les gens que je fréquente. Je sais, il ne me sert à rien d’envisager le pire maintenant.

Le mieux est de me concentrer sur ce qu’il me reste à faire pour me préparer (comme si c’était LA sortie du siècle et que j'allais rencontrer le messie haha ) :
-Me laver ;
-Laver mes cheveux ;
-Ce qui implique évidemment de sécher mes cheveux ;
-Les plaquer ;
-Faire mes ongles ;
-Souper ;
-Trouver ma tenue ;
-Me maquiller.

Vous voyez, j’aime un peu les listes! C’est toujours plus clair ainsi.
Bon, j’ai trois heures devant moi, au boulot!

mercredi 28 octobre 2009

Mon prof de salsa...

C'est mon fantasme.

mardi 27 octobre 2009

Quand il est question d'amour

Trois amis, attablés dans une brûlerie du Vieux-Québec, qui discutent d’amour.

C’est beau à voir, c’est beau à entendre, mais c’est surtout bon à vivre.

S., M.-M. et moi, autour d’un bon café, à tenter de définir ce qu’est l’amour. Dans la jeune vingtaine, avec nos minimes expériences, à tenter d’éclaircir les relations hommes-femmes.

Essayer d’aider l’autre dans sa relation de couple, à y voir clair, alors que soi-même, on n’est même pas capable de savoir ce que l’on veut, ce que l’on attend de l’autre, ce que l’on est prêt à offrir.




Après maintes heures de discussions, l’amour reste pour nous l’un des plus beaux mystères.

dimanche 25 octobre 2009

Je regarde quand même vers l'avenir

Joyeux premier anniversaire de célibat à moi-même depuis M.

vendredi 23 octobre 2009

L’art de commencer la semaine de lecture intelligemment

La première chose que j’ai faite, en revenant de mon dernier cours ce matin, après avoir diné et écouté un épisode de One Tree Hill, c’est d’avoir dormi.

Ce que je qualifie d’intelligent ici, c’est bien entendu mon petit somme. J’ai dormi 2h30 cet après-midi, 2h30 avec Matou collé contre ma joue qui accordait ses ronronnements à mes rêves.

Une fois reposée, je suis allée à mes cours de salsa. J’adore mes cours de salsa. Je dirais même que je préfère ce style de danse au flamenco. Après 3 ans de flamenco, j’ai eu envie d’un peu de changement. Et la salsa me rejoint entièrement. J’aime danser sur les rythmes cubains, tournoyer et me déhancher, tout en restant décente.

Je trouve que je suis meilleure qu’au flamenco. Et ça me fait encore plus aimer la salsa. J’ai même envie de m’y investir encore plus, de devenir meilleure. D’ici quelques années, je pourrai peut-être me joindre à la troupe de mon école de danse. On a le droit de rêver, non?

Toutefois, je devrai prendre une petite pause de salsa cet hiver, à partir de janvier, puisque je vais étudier en France jusqu’au mois de mai. Par contre, je vais peut-être avoir la chance de me trouver une école de danse latine à Paris, qui sait?

jeudi 22 octobre 2009

R.I.P.

Edit : Mon iPod est finalement vivant grâce à mon frère <3 Je savais qu'on pouvait appuyer sur des boutons pour le réactiver, mais il faut croire que je n'avais pas appuyé sur les bons...

Mon iPod vient de rendre l'âme, là, à l'instant. Je suis au travail et c'est lui qui protège mes pauvres oreilles des inepties qui se disent entre collègues. Comment vais-je survivre? En vidant encore plus mon porte-monnaie pour en acheter un autre? (Peut-être même un iPod touch!)

Parce qu'après l'achat de mon billet d'avion, de mes assurances et de mon MacBook Pro, ça fait beaucoup de dépenses... Ou bien je tente de retrouver mon désuet lecteur MP3? I

Pod touch, me chuchote-t-on à l'oreille...

mercredi 21 octobre 2009

J’ai les ailes d’un ange et je pars pour Paris!

Billet d’avion aller-retour Montréal/Paris.

28 décembre 2009 au 15 mai 2010.

697$

697$

WOW!

Vous avez remarqué? Je célèbre la nouvelle année sur les Champs-Élysées.

jeudi 15 octobre 2009

La désorganisation et moi…

Ça fait deux. Ça fait même trois, cinq, dix, cent…

Vous le savez, cet hiver, je m’envole pour Paris afin d’effectuer mon troisième stage en enseignement. C’est bien beau tout cela, un grand rêve qui se réalise de vivre cinq mois sur le continent européen, mais le rêve s’assombrit un peu quand on n’a pas d’informations (ou très peu), quand on n’a pas d’aide pour les visas, les logements, les stages.

L’Université Laval semble délaisser ses tâches, se désengager. Nous sommes supposés avoir une formation en ligne au mois d’octobre pour nous indiquer les procédures à suivre pour l’obtention de notre visa, mais nous sommes aujourd’hui à la mi-octobre et nous n’avons toujours pas de nouvelles. Toujours des réponses évasives, jamais rien de concret.

De surcroit, le prix de la chambre de la résidence où nous devons loger vient de doubler. Oui mes amis, doubler! Nous avions choisi des chambres à environ 250 euros par mois, mais la dame qui s’occupe de nous en France vient de nous avertir qu’elle n’avait réussi qu’à nous obtenir des chambres à 490 euros par mois. 490 euros!!! Bon sang, c’est presque 800$!! Moi, ça ne m’empêchera pas de partir. Mais je crois que certains collègues abandonneront le projet. Et c’est malheureux.

Je crois qu’on va commencer à se chercher un appartement. Mais un appartement à Paris, c’est dispendieux. Et magasiner des logements outre-mer, c’est laborieux.

L’Université Laval et l’université qui nous recevra en France semblent toutes les deux se désengager. Nous naviguons dans le doute. Nous glanons des informations ici et là pour tenter de savoir quoi faire, mais jamais elles ne proviennent de ces universités.

J’espère bientôt que la lumière se fera!

samedi 10 octobre 2009

Parce que...

Parce que j'avais envie de changement;

Parce que je voulais effacer la pluie que l'automne laisse couler sur ma vie;

Parce que je voulais revoir une dernière fois le soleil;

Parce que je sentais le besoin de me remémorer ces cinq jours inoubliables en Gaspésie.

C'est pourquoi j'ai tout bonnement changé la photo de mon blogue.

vendredi 2 octobre 2009

Le grand saut

Hey oui, j'ai fait le grand saut.

Je suis passée du PC au Mac.

Aujourd'hui, je suis allée acheter un MacBook Pro 13.3 pouces. Je voulais quelque chose de fiable, surtout pour mon stage en France qui s'en vient à grands pas. Un ordinateur qui n'a pas besoin d'anti-virus et qui ne bogue pas, voilà ce dont j'avais besoin.

La batterie de mon PC ne durait même pas une demi-heure... certes, il est vrai que je l'ai depuis un peu plus de trois ans. Tant qu'à changer la batterie, aussi bien acheter quelque chose de beaucoup plus performant. L'ordinateur portable que j'avais était aussi très lourd et massif. Je suis bien contente de mon nouvel achat.

... Je ne l'ai pas encore sorti de sa boite hahaha! J'attends d'avoir un peu plus de temps. Mon Mac est sagement rangé dans le coin de ma chambre et je le regarde de temps en temps avec une certaine appréhension...

Me familiariser avec les fonctions du Mac me fait aussi un tantinet peur. Mais toutes les personnes que je connais qui sont passées de PC à Mac ne l'ont pas regretté. Je devrais pouvoir me débrouiller.

lundi 21 septembre 2009

Quand boulot rime avec intimidation

L'équation est simple, la solution l'est autant : plainte au syndicat.
Même si l’on (les étudiants) n’est pas syndiqués, j’ai décidé d’aller parler de certaines situations à une collègue en qui j’ai confiance et qui fait partie du syndicat. Elle était si heureuse que je lui en glisse un mot, car depuis quelque temps, notre étage fait beaucoup jaser, mais personne n’ose se plaindre. J’ai déjà parlé de cela dans un billet précédent si vous vous souvenez.

Maintenant, une étape est franchie. Je ne sais pas ce qui se passera par la suite.

La semaine dernière, une étudiante s’est fait bousculer par l’une des chefs d’équipe sur notre étage. Et ce n’était pas un accident.

Cette bousculade, ajoutée aux commentaires verbaux déplacés, c’était la goutte qui a fait déborder le vase.

Cela fait maintenant 4 ans que je travaille à cet endroit et jamais, au grand jamais, je n’ai vécu une situation semblable. Manquer de respect envers ses employés, on n’apprend tout de même pas ça à l’école!

En 4 ans, j’ai eu 3 gestionnaires et de nombreux chefs d’équipe différents. Et jusqu’au printemps dernier, jamais je n’ai eu de problèmes avec eux. Jusqu’à l’arrivée de cette dernière.

J’espère sincèrement que des démarches seront entreprises.

vendredi 18 septembre 2009

Lois et évidences

Le matin et le soir, bref, sur les heures de pointe, pourquoi les automobilistes roulent-ils dans les voies réservées, alors qu’elles sont réservées (comme le signale clairement le nom) aux autobus, aux taxis ainsi qu’aux automobiles contenant au moins trois passagers?

Les pancartes ne sont pas des décorations.

Autre questionnement existentiel.

Pourquoi chaque fois que je fais de la bicyclette dans le Vieux-Québec, surtout dans le Vieux-Port, les gens marchent-ils dans la piste cyclable alors que celle-ci est on ne peut mieux délimitée et identifiée et que le trottoir à côté de ladite piste est trois fois plus large?

Dans les deux cas, c’est enrageant. Dans le premier cas, je perds un temps fou dans l’autobus et dans le second, je me fâche contre les promeneurs et leur crie des bêtises, en plus de leur foncer presque dedans.

Fin de mes profondes réflexions.

mardi 1 septembre 2009

Joies bureaucratiques

Nous, les étudiants qui travaillent dans un établissement gouvernemental, n’obtenons pas toujours de légitime reconnaissance. Surtout de la part de nos gestionnaires. Certes, la plupart des employés réguliers nous aiment bien, mais certains d’entre eux nourrissent une « violente » haine à notre égard. Injustifiée, qui plus est.

Pour faire une histoire courte, il arrive régulièrement de se faire dire d’arrêter de parler, de retourner travailler. Certains employés iraient se plaindre à nos gestionnaires. Et c’est tout à fait injustifié. Nous ne parlons pas plus que les permanents, même que nous nous faisons plus discrets. Et nous travaillons au moins trois fois plus rapidement qu’eux. Alors pourquoi recevoir les réprimandes des chefs d’équipe et gestionnaires? Tout simplement parce que nous n’avons aucun recours pour nous aider. Nous ne sommes pas syndiqués, alors où se plaindre? Où aller chercher de l’aide? C’est facile de frapper sur un plus « faible » que soi.

Oui, nous jasons. Tout comme les autres. Mais pas à l’excès. Sans se parler, on virerait complètement fous. Pas à cause de la charge de travail. En raison de l’ambiance de travail et de nos collègues de travail dont certains frôlent la débilité. Sans aucune exagération.

Certains permanents dérangent énormément l’ambiance de travail. Certains crient, des chicanes éclatent, d’autres rient trop fort, parlent trop fort, certains sentent même très mauvais! Et nous? On ne se plaint jamais. On fait ce qu’on nous demande. Et on le fait très bien. On en fait même plus. De la part d’une chef d’équipe, on ne reçoit que des regards bêtes, des sourires et des salutations forcées. Quel est son problème?

Malgré tout cela, j’apprécie mon emploi étudiant. Je suis grassement payée et je travaille dans des bureaux gouvernementaux. Je n’ai pas à « flipper » des boulettes au McDo. On demande seulement un peu de respect. Au moins un minimum.

mardi 18 août 2009

Épuisée

Épuisée physiquement, physiologiquement, psychologiquement, émotionnellement. Amenez-en des adverbes en « ment »!

Toujours cette histoire avec J. Et ma famille qui s’en mêle. Qui s’en est toujours mêlée, même si cela ne regarde que moi.
Il est trop grand. Pas assez gros. Pas assez beau. N’a pas un assez bon emploi. Et j’en passe. Aux dire de mes parents, je pourrais trouver ô combien mieux! Selon eux, j’ai une « valeur »… je suis un objet, c’est ça?

Mes parents ont fait beaucoup de pression sur moi pour que ma relation n’évolue pas avec lui. Et comme chez moi les liens familiaux sont très forts, je les ai écoutés.
Mes parents qui me font la gueule, ma mère qui pleure, plus personne qui ne me parle, la pression, le sentiment d’être une étrangère dans sa propre maison, tout ça a fait en sorte que j’ai craqué. Je n’ai pas été assez forte pour leur tenir tête.
J’ai donc mis un terme à notre relation.

J. et moi, on se voit au travail. On fait certaines activités amicales ensemble, mais je n’en parle pas à mes parents. Jusqu’à samedi matin. Lui et moi, on est allés à la plage ensemble. En amis. Même à ça, j’ai eu droit à un week-end d’enfer de la part de mes parents, surtout de ma mère. Ça m’épuise. Je ressens seulement l’envie d’être le plus loin possible de la maison. Et c’est ce que j’ai fait. J’ai passé la fin de semaine ailleurs, avec des amis. Ne revenant seulement à la maison que pour dormir. Je crois que ça les a secoués un peu. Hier soir, tout semblait normal chez moi. Nous avons eu un souper normal.

Mercredi soir, je quitte pour cinq jours pour la Gaspésie. Je vais chez une amie qui étudie avec moi. Un bon cinq jours sans moi, ça devrait les faire réfléchir un peu.

Et l’année prochaine, l’été prochain, je quitte en appartement. Il est temps que je vole de mes propres ailes. Je suis assez libre chez moi, hormis pour certaines petites choses. Et maintenant que j’ai 22 ans, j’ai envie de ne plus être restreinte. L’été prochain, je vais revenir d’un long séjour d’études d’environ cinq mois de l’Europe. J’imagine que je n’aurai pas vraiment le goût de retourner vivre chez mes parents et de réapprendre des règles, etc.

dimanche 2 août 2009

OVO

Mon frère et moi avons accompagné nos parents à OVO, le nouveau spectacle du Cirque du Soleil cet après-midi. Beaucoup de points positifs, mais quelques points à améliorer aussi.

D’abord, la musique est toujours aussi sensationnelle d’un spectacle à l’autre. La chanteuse et les musiciens sont extrêmement bons, d’autant plus qu’ils chantent et jouent en direct. La musique s’accompagnait très bien au thème du spectacle. Les critiques semblaient dire que la musique tirait trop sur le genre brésilien en raison de la nationalité d’une des metteures en scène, mais je n’ai pas trouvé un penchant excessif pour le style brésilien. La musique était juste parfaite pour chacun des numéros et pour le monde de bestioles qui était recréé par le Cirque.

Ensuite, dans la même veine, les costumes sont stupéfiants. Chaque détail, chaque couleur offrent une différence au coup d’œil et à la vue d’ensemble. Le mariage des costumes et des éclairages est tout simplement parfait. Rien à redire de ce côté.

Concernant les numéros acrobatiques, ils étaient très impressionnants. Surtout celui où les acrobates jonglaient avec leurs pieds. Ils ont même jonglé d’autres humains à l’aide de leurs jambes. WOW! L’homme sur le fil de fer mou était excessivement bon aussi. De même que les acrobates sur les trampolines qui faisaient de l’escalade en même temps. C’est un peu dur à expliquer loll!

Pour ce qui est des points à améliorer, il me semble qu’avec les années, le nombre de numéros contenant des acrobaties diminue. J’ai vu tous les spectacles du Cirque du Soleil depuis une dizaine d’années (ceux à Québec, mais aussi celui à Disney) et avec le temps, ce genre de numéros semble prendre moins d’importance. Il y a eu quelques petites longueurs, notamment les numéros avec les clowns. Numéros que je n’ai pas trouvés drôles. Ils auraient pu être remplacés par des numéros acrobatiques.

C’est à peu près tout pour les points négatifs! Le thème du spectacle est très original : la vie des bestioles, bibittes de tous genres qui grouillent au sol. Oh et il y a même un numéro qui met en scène une larve et c’était tellement représentatif que ça m’écœurait loll!

Et vous, avez-vous vu OVO?

lundi 20 juillet 2009

Leurre

Je me mens à moi-même, c'est pitoyable!

vendredi 17 juillet 2009

Profession : Briseuse de coeurs (la suite)

Tout est bien qui finit bien.

Peut-être certaines d’entre vous s’en souviennent, dans le dernier billet que j’ai supprimé, j’ai fait la mention de J., un garçon avec qui je travaille et avec qui j’allais prendre un verre. La soirée s’est très bien déroulée. On s’est même revus la semaine suivante au Festival d’été. Encore une fois, très belle soirée. On s’entend très bien, on rit ensemble, on fait tous les deux beaucoup de sports (et tous les deux, on fait du Tae Kwon Do, c’est charmant!).

La soirée est plaisante, on finit même par s’embrasser. Jusque-là, pas de problème, c’est juste comme ça. Le lendemain, au travail, évidemment, ça se met à jaser. Vous voyez, je travaille pour le gouvernement fédéral, donc je suis entourée de fonctionnaires avides de potins.

J. et moi on agit comme si on se fréquentait, mais discrètement. Je veux dire, on s’est vus deux fois en dehors du bureau, on s’est embrassés, mais ça ne signifie pas beaucoup de choses. La journée passe, je retourne chez moi, on ne se voit pas pendant la soirée.

Et je me mets à réfléchir. Je m’entends très bien avec J. Mais je ne me vois pas aller plus loin avec lui que le stade de l’amitié. C’est sûr, on ne s’est pas fréquentés beaucoup, mais je le sens. C’est comme ça, c’est tout. Quand j’ai un garçon dans la peau (wow, quelle expression!), je ressens les fameux papillons au ventre, je pense sans cesse à lui, j’ai les mains moites et le cœur qui bat la chamade. Oui, je pense à J. Mais pas de cette façon. Je ne suis pas impatiente de le revoir.

Oups. Il faudrait bien que je lui en parle. Question que ça n’aille pas plus loin et que lui ne demande pas plus de moi. Le lendemain matin, j’envoie un courriel à J. lui demandant s’il a deux minutes pour discuter. On se rejoint à son étage, à l’abri des regards indiscrets et je lui fais part des mes réflexions.

Bang. Je crois bien avoir frappé un mur. Je l’ai déçu. Terriblement déçu. Je sens qu’il est peiné. Et je me sens moche, terriblement moche de lui causer de tels sentiments! J. me boude un peu, ne veut pas me voir ni me parler. Bon, cela se comprend. Mais son petit manège commence à durer longtemps… pourtant, on ne s’est vus que deux fois! Ce n’est pas comme si on avait bâti quelque chose ensemble après un an de fréquentations! Je tente de lui reparler sur MSN et par courriel, de lui réexpliquer tout cela. Et c’est seulement hier soir qu’il a digéré le tout. Quel soulagement! J’avais l’impression de perdre une personne qui pourrait être un excellent ami.

Aujourd’hui, au travail, nous avons échangé un nombre incalculable de courriels. Et j’étais très contente. Tout est revenu à la normale. J. c’est tellement un bon ami pour moi! On dirait presque un grand frère!

mercredi 15 juillet 2009

Profession : Briseuse de coeurs

Et je n'aime pas mon travail.

vendredi 10 juillet 2009

Identité

J'ai tout simplement effacé le dernier message, car je n'ai pas envie que certaines personnes aient accès à mon blogue et lisent le dernier post.
Je me suis rendu compte qu'en tapant mon prénom dans Google, l'adresse du blogue apparaissait en premier ou en deuxième. Pourtant, j'ai bien pris la peine de supprimer toutes les informations relatives à mon prénom et à mon nom de famille.
Savez-vous comment remédier à cette situation?
Je ne vous écris pas plus longtemps, j'ai un examen qui m'attend demain matin (oui oui, un samedi matin!). J'ai pris un cours d'été pour m'avancer dans mon bac et l'examen final est demain.

lundi 22 juin 2009

Moi, pisse-minute?

Malheureusement.
Le fait de boire une quantité incroyable d’eau dans une journée ne doit pas être étranger à ce phénomène… surtout après l’heure du midi. C’est fou, surtout lorsque je suis au bureau et que je viens de me brosser les dents.

12h45 : brossage des dents

13h : tiens donc, une envie!

13h10 : encore?

13h40 : ouain, ça tiraille encore!

Et ainsi de suite jusqu’à la fin de ma journée. Parfois, je peux y aller quatre fois dans une heure! Je vais me faire mettre dehors, mes patrons vont penser que je perds mon temps aux toilettes!
Et c’est pire lorsque je prends un café. Parlant de café, voici une vidéo rigolote, peut-être l’avez-vous déjà vue.
Aujourd’hui, j’avais mon échographie pour vérifier si mes ovaires étaient corrects. Et ils sont en parfaite santé! L’arrêt de mes menstruations n’est donc pas causé par des kystes aux ovaires, ni un cancer. Quel soulagement! Le lien avec mes envies d’uriner? Je devais boire trois grands verres d’eau avant de passer l’échographie. Trois verres d’eau à partir de 12h15 et mon rendez-vous était à 13h30. Bien sûr, je suis passée après 14h… Je n’ai jamais eu aussi envie que ça de toute ma vie! La technicienne et le médecin appuyaient fort sur mon ventre avec leur espèce de sonde, ça faisait terriblement mal! J’en ai même pleuré. Mon corps tout entier tremblait. J’ai même perdu la sensation de mes mains; elles se sont mises à picoter et ensuite, je ne sentais ni mes mains ni mes bras. Très freak. Je vous le jure, c’est une douleur atroce que d’avoir la vessie pleine. Au moins, les nouvelles sont positives : aucune anomalie dans mon utérus!

mercredi 17 juin 2009

Ma santé

Depuis 4 mois, les menstruations ont déserté mon corps. Cela pourrait être signe de réjouissance pour de nombreuses filles, mais pour moi, c’était plutôt signe d’alarme. Elles ont cessé comme ça, pouf! Du jour au lendemain, plus rien! Au début, cela a été très préoccupant et stressant. Étais-je enceinte?
J’ai passé deux tests de grossesse et non, heureusement, je n’étais pas enceinte. Cette éventualité écartée, quelle cause reste-t-il pour créer l’arrêt des menstruations?

Avril, toujours rien.
Mai, menstruations toujours absentes.
Juin, le néant.

Lundi, j’avais un rendez-vous avec ma gynécologue. Elle m’a examinée et je devrai avoir une échographie et des prises de sang. J’ai discuté avec elle de mon rythme de vie. Je lui ai fait part de mes nombreux entrainements et de ma perte de poids. J’ai perdu 10 livres depuis le mois de novembre, mais ces 10 livres n’étaient vraiment pas en trop. Ellem’a donc pesée et mesurée et… je suis en-dessous de mon poids santé selon mon IMC. Je dois reprendre quelques livres, ne serait-ce que 3 livres, ça pourrait faire toute la différence.

Sinon, l’arrêt des menstruations peut être tout simplement naturel et elles pourraient revenir d’une manière tout aussi naturelle.

Peut-être que j’ai des problèmes avec mes ovaires, ou encore avec mes hormones. C’est ce que les résultats des tests nous apprendront.

Pour l’instant, j’attends. Je continue ma vie, mais j’attends impatiemment le retour de ce qui fait de nous des femmes.

lundi 8 juin 2009

Relais pour la Vie

C’est lors de ce genre de moments qu’on se rend compte combien on est attachés à notre famille, aux gens qui gravitent quotidiennement autour de nous.


Samedi dernier, je participais au Relais pour la Vie pour la troisième fois, activité organisée par la Société canadienne du cancer. Cette fois-ci, je n’étais pas bénévole; j’y étais en tant que participante. Comme chaque année, ma famille et moi, nous nous rassemblons avec les membres de l’équipe des Geais Bleus qui sont de très bons amis à mon parrain. Ce parrain qui, cette année, manquait à l’appel.


Parce qu’il est atteint du cancer.


Un cancer rare. Même que les médecins ne peuvent dire s’il a des chances ou non de s’en sortir.


Et pour parer à toute éventualité, il doit recevoir et chimiothérapie et radiothérapie et ce, parfois les deux traitements en même temps.


Il est vraiment au plus bas de ses capacités. Il ne peut plus manger, il est donc intubé.


Et samedi, nous étions tous très émotifs. Habituellement, mon parrain prend aussi part à cette activité, mais en raison de son état, il devait rester couché. Son absence s’est fait sentir par tout le monde.


Habituellement, je ne suis pas quelqu’un qui pleure facilement et qui montre ses émotions. Mais cette journée a été une exception. Les yeux rougis et la larme à l’œil ont été mes compagnons. Fidèle à ma nature, je suis toutefois restée discrète et je ne me suis pas épanchée sur mes sentiments.


Je vous laisse avec une photo de ma famille, mes parents, mon frère de même que moi-même.








dimanche 31 mai 2009

Donnez-moi une baguette et du fromage!

Donnez-moi une baguette et du fromage que j’enseigne aux petits Français!

Cette semaine, j’ai reçu une très bonne nouvelle. Une excellente nouvelle, même. Mon rêve va finalement se concrétiser : j’ai été choisie pour aller faire mon stage III en enseignement en France à la session d’hiver! Plus précisément, je vais être à Versailles. La joie! Je vais suivre des cours à l’IUFM, l’Institut universitaire de formation des Maîtres et j’aurai à donner des cours de français dans un lycée.

Nous sommes quatre amis du baccalauréat qui partirons ensemble. Nous avions des projets plein la tête concernant ce stage avant même de recevoir nos réponses. Je peux vous assurer que nous voyagerons beaucoup lors de notre séjour en Europe! Le stage est du début de mois de janvier jusqu’à la mi-avril. Nous pensons partir vers la fin de mois de décembre, puisque les billets d’avion sont moins chers, pour revenir vers la mi-mai.

Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point je suis heureuse! De plus, j’ai beaucoup de connaissances un peu partout en France, il sera donc assez facile de me trouver une petite place où coucher lorsque je vais voyager.

Les préparatifs sont déjà amorcés. L’Université Laval nous a envoyé les papiers concernant les résidences universitaires. Les chambres ont l’air très bien : elles possèdent toutes leur propre douche et toilette. J’ai le choix de choisir entre une chambre qui possède sa propre cuisinière, son évier et ses plaques électriques ou partager le tout avec les autres étudiants sur le même étage. Les chambres sont chères : environ 700$ par mois. Mon université donne une bourse de 2 500$ et paie une partie du billet d’avion. Il est possible d’aller chercher d’autres bourses, je vais vérifier le tout plus tard.

Je flotte sur un nuage depuis une semaine :o)

dimanche 24 mai 2009

BBQ, amour et soleil

Vendredi soir a eu lieu le BBQ avec les copains du bureau. Arrivée vers 19h, parle, parle, jase, jase, mange des chips à n’en plus finir,bois et finalement, dégustation de nos viandes. Un seul mot : miam! C’était une soirée très agréable, nous étions une douzaine, la majorité provenait de notre bureau, l’autre incluait les amis du gars chez qui nous étions et les chums/blondes des collègues. Pour ma part, j’ai décidé d’inviter J.

J. est un ami depuis 3 ans. Je l’ai connu lorsque j’étais en couple. Plus tard, il s’est fait une blonde. Mon couple s’est terminé et le sien aussi pas longtemps après le mien. On s’est toujours écrit pendant ces trois années, mais depuis le mois de janvier, nous avons fait quelques activités ensemble, comme aller patiner, aller marcher, etc. Je ne sais pas si on peut qualifier notre relation de fréquentation. Dans ma tête, fréquentation égal ami avec des privilèges, mais il n’en est pas de même avec J. Pour l’instant, c’est un ami, point. Je l’ai invité à cette soirée à la dernière minute (la journée même héhé) me disant que j’allais peut-être voir si je voulais qu’il soit plus qu’un ami.

Toujours est-il que je ne sais toujours pas si je veux qu’il soit plus qu’un ami. Il s’est très bien entendu avec mes collègues et je n’ai pas eu à l’entertainer toute la soirée. Il a été sociable avec eux. Mais, il y a toujours un mais, je ne ressens pas le stress habituel d’une nouvelle fréquentation, je n’ai pas eu le fameux déclic qui fait que tu veux voir sans cesse cette personne, que tu penses toujours à elle. Certes, il est très gentil, mignon, calme et intelligent, mais on dirait qu’il manque un petit quelque chose.

Pour en revenir à ma soirée, c’était très drôle. Mon gâteau a fait fureur, mais surtout la crème fouettée que j’avais apportée pour l’embellir… Eh oui! Il y a eu une bataille de crème fouettée. On se serait vraiment crus à la maternelle, mais c’était si drôle! Bref, je n’ai pas reparlé à J., on ne s’est pas donné de nouvelles de la fin de semaine. J’ai l’impression qu’il restera un ami, mais je ne sais pas quoi faire pour qu’il ne soit pas plus. Si je continue de l’inviter à faire des activités avec moi, il aura l’impression que je veux plus, mais au contraire, si je cesse de lui parler, il croira que je ne veux plus rien savoir de lui. Des conseils? Suggestions?




Le soleil s’est montré toute la fin de semaine et j’en ai profité! Puisque j’ai mangé comme un porc vendredi soir, il fallait bien que j’élimine toutes ces graisses prises ha ha ha! Je suis donc allée courir samedi matin. Je cours un escalier dans le quartier du Petit-Champlain qui compte 397 marches. Je m’entrainais à cet endroit pour mon examen de Tae Kwon Do, car cet exercice faisait partie de l’examen, mais depuis le passage de l’examen, je continue d’y aller de temps en temps. C’est dur, mais ça fait tellement du bien. Chaque fois, je le cours 3 ou 4 fois. Et puis, de l’escalier, la vue est superbe; on voit le fleuve. En après-midi, je suis allée faire de la bicyclette avec mes parents. Nous avons fait la Promenade Samuel-de-Champlain. Aujourd’hui, je suis retournée en vélo avec ma meilleure amie C. et son copain. Nous nous sommes rendus dans le Vieux-Québec, puis avons pris le traversier pour nous rendre à Lévis, car la piste cyclable là-bas est très belle. J’ai pris quelques couleurs, c’est très agréable. Enfin, le blanc de ma peau commence à brunir légèrement. Ça sent l’été!

jeudi 21 mai 2009

Une soirée bien arrosée

Dur réveil ce matin, mon cerveau était encore prisonnier des brumes.

Après le boulot hier, je suis allée rejoindre mon ami du bac, P. qui travaille pour l’été à l’Université avec l’une de nos professeures. Nous sommes allés souper au restaurant l’Académie où nous pouvons apporter notre vin. Hé hé hé… Nous étions deux et nous avions deux bouteilles de vin. Ça n’a pas pris de temps que nous étions un peu pompettes. Mais c’était tout de même une soirée très agréable. Nous avons décidé d’aller au cinéma voir Anges et Démons. Que je n’ai pas aimé. Mais j’étais saoule, alors mon jugement n’est probablement pas très objectif! J’ai un peu somnolé *ahem dormi* au début du film, mais pour le reste, je n’ai pas trop compris. J’imagine que le bouquin est fort meilleur. Je suis revenue chez moi en autobus et je me suis effondrée dans mon lit. Je ne sais même pas comment j’ai trouvé la force de préparer mon repas pour le lendemain midi pour le travail! Mon cadran a sonné à 5h50 comme tous les matins et c’est dans u profond brouillard que je me suis réveillée. L'équilibre et moi, ce matin, ça faisait deux! La matinée au bureau s'est tout de même bien déroulée, grâce à un bon café, moi qui n'en bois jamais!
Après ma journée de travail, le soleil m'a appelée et je me suis étendue dehors. Que ça fait du bien! Et j'ai passé la soirée à cuisiner un superbe gâteau marbré aux fraises pour mon barbecue vendredi soir. Ça vaut vraiment la peine que je vous mette des photos dudit gâteau lors du prochain poste, il est à deux étages!

lundi 18 mai 2009

Le Grand Ménage

Pas de ma vie, pas de mon cœur, pas de mes amis ni de mon entourage. Non, seulement le grand ménage de ma chambre! Et le titre le dit bien, j’ai fait ça en grand! Depuis le début de ma session universitaire, je me dis que je vais faire le ménage de ma chambre. J’ai terminé le 23 avril dernier et nous sommes aujourd’hui le 18 mai. Il était temps que je tienne ma résolution. Heureusement, je n’ai pas une maison au complet à nettoyer! Mais mieux vaut tard que jamais, non? Je vivais littéralement dans la poussière. C’est incroyable le nombre de « boubous » de poussière que l’aspirateur a avalé! Quelle satisfaction je ressens après un tel ménage! Suis-je normale? J’ai le sentiment du devoir accompli ha ha!

J’ai jeté un nombre incroyable de papiers, de livres du collégial qui ne me servaient plus à rien et de vêtements. Les vêtements, ma mère m’en a pris quelques-uns et les autres iront aux pauvres. L’eau chaude et le savon, l’aspirateur et le swiffer ont côtoyé ma chambre tour à tour aujourd’hui. Comme ça a fait du bien!

La grande question est maintenant de savoir combien de temps ce ménage va durer! Pour la poussière, c’est hors de mon contrôle. Elle retombe tellement trop vite sur les meubles! Mais pour ce qui est de l’enlever et de garder ma chambre en ordre, eh bien, les paris sont ouverts.

vendredi 15 mai 2009

Merci

D’abord, merci pour vos commentaires concernant mon dernier billet. Je ne m’attendais pas à en recevoir d’aussi longs, mais ça m’a fait très plaisir de vous lire et de constater que vous y preniez un certain intérêt. Je ne parlerai pas vraiment de cette histoire en long et en large ici, j’avais seulement besoin d’exprimer ce que je ressentais un peu tous les jours. Je vais quand même répondre aux quelques questions qui ont été posées. Non, je n’ai absolument pas l’intention de le revoir pour lui demander des explications et si jamais je le croise par hasard, je vais tout simplement faire comme si je ne le connaissais pas. Ce qui est un peu vrai, puisque la nouvelle personne qu’il est devenu m’est totalement inconnue. De plus, j’ai gardé contact avec son frère et la femme de son frère, de même qu’un peu avec ses parents et c’est par eux que j’ai su qu’il avait commis certains gestes. Lui, il ne me l’a jamais avoué et a même tenté de mettre tout ce qui se passait entre nous sur mon dos et de me faire sentir coupable, ce qu’il a très bien réussi pendant un certain temps. Dès l’instant où j’ai appris certains « détails », un poids lourd s’est détaché de moi et j’ai enfin pu mieux respirer. Ce que j’ai exprimé comme incompréhension dans le précédent billet concerne les changements qui se sont opérés chez lui. Et même si je le questionnais à ce sujet, ça ne me mènerait à rien. Bon, passons à autre chose!

Quoi de mieux qu’une belle soirée avec sa meilleure amie et le copain de cette dernière? Nous sommes allés marcher dans le Vieux-Québec pour nous diriger ensuite vers le restaurant Le Café du Monde (http://www.lecafedumonde.com/) où nous avons pris un excellent dessert et un café flambé. Humm, que c’était délicieux! Demain, nous allons au PEPS de l’Université Laval pour assister au Championnat canadien junior de Tae Kwon Do. J’aurais pu coacher à cette compétition, car habituellement je coache les membres de mon club de Tae Kwon Do lors des compétitions, mais puisqu’il s’agit d’une compétition plus importante et qu’il me manque un cours spécial d’entraineur, je ne pouvais pas coacher. J’étais bien triste. Nous allons tout de même aller encourager les membres qui y participent. Ça devrait être bien plaisant.

Sinon, j’étais censée partir à Ogunquit avec mes parents, mais il annonce de la pluie samedi, dimanche et lundi là-bas. Nous avons donc laissé tomber le projet. Je vais profiter de ma fin de semaine de trois jours ici, à Québec.

mardi 12 mai 2009

Nostalgie

Il y a exactement un an, je revenais d’un merveilleux voyage à Walt Disney World avec mon ancien amoureux. Voyage que nous avons rêvé ensemble, que nous avons pensé ensemble et que nous avons planifié ensemble.

Il y a trois ans, il m’avouait être amoureux fou de moi.

Il y a deux ans et onze mois, nous étions persuadés d’être faits l’un pour l’autre.

Il y a deux ans et dix mois, nous commencions déjà à penser aux prénoms de nos enfants.

Il y a sept mois, il me quittait.

Il y a sept mois moins un jour, il me trompait.

Il y a sept mois et un jour, mon cœur ne cognait plus contre ma poitrine.

Aujourd’hui, je ne comprends toujours pas. Mon cœur bat à nouveau, mais ma tête reste pleine de questions. Comment quelqu’un que vous connaissez par cœur peut-il autant changer?

Jamais une journée ne s’écoule sans que j’y pense. Les morceaux de mon cœur se sont recollés, mais ma tête ne comprend pas, ne peut s’expliquer la situation.

C’est ainsi. Un point c’est tout.

Les gens changent, souvent pour le mieux. D’autres, au contraire, s’empirent. Et veulent à tout prix être aimés par tout le monde et se laissent influencer pour ne pas déplaire. Aux dépens des gens qui les aiment véritablement.

lundi 11 mai 2009

Orgueil et Préjugés

J'ai terminé, hier soir, la lecture de Orgueil et Préjugés de Jane Austen. Et j'ai vraiment aimé. J'avais écouté le film avant et c'est ce qui m'a donné l'envie de lire le roman. J'avoue, je ne suis pas une admiratrice de l'écriture de Mme Austen, écriture que je trouve plutôt simple, mais je suis réellement tombée en amour avec l'histoire d'amour des personnages principaux ;-) Les caractères si opposés d'Elizabeth et de Darcy, mais si semblables à la fois, la méprise sur leurs sentiments respectifs, ahh! Est-ce que ça paraît que j'ai envie de vivre une passion sentimentale, moi aussi? Les campagnes de l'Angleterre me semblent si attirantes avec leur verdure à perte de vue et leurs charmants lacs. Aujourd'hui, je me suis donc procuré à la bibliothèque les deux tomes de Emma, un autre roman de Jane Austen.

Je termine ce billet ainsi, je n'arrête pas d'effacer tout ce que j'écris depuis une bonne dizaine de minutes. Les idées se bousculent, de même que les sentiments. Plutôt que d'écrire n'importe quoi n'importe comment, je préfère laisser ce billet propre. Je vais me coucher, une autre journée de travail m'attend demain.

dimanche 10 mai 2009

Retour sur la blogosphère

Eh! Oui, je suis de retour sur la blogosphère après une attente de... je ne compte même plus les mois. Ou les années? Après une année et quelques mois, je me suis tannée de mon précédent blogue, tannée de devoir changer les designs et tannée de devoir sans cesse réajuster mes codes HTML. Mais aujourd'hui (pas aujourd'hui en tant que tel, mais aujourd'hui en tant que dernièrement), l'envie de publier sur le web est revenue plus forte que jamais. Afin de remédier aux raisons qui m'ont poussée à fermer mon autre blogue, j'ai décidé d'ouvrir un compte sur Blogger.

Me voici, me voilà! J'imagine que vous avez vu que j'ai laissé ma trace sur vos blogues. Pas nécessairement pour m'attirer des visiteurs ici, mais plus pour vous dire que je suis de retour :) Même si je n'écrivais plus sur le web, j'ai tout de même continué à vous lire, sans toutefois laisser de commentaires. Chose que j'aurais peut-être dû faire.

Je vous laisse sur ce petit billet assez inintéressant, je dois l'avouer, mais je vous reviens prochainement!
Ah et sur l'image du header, on voit ma mère, mon frangin et moi qui prenons de drôles de poses! C'était après notre brunch pour la fête des mères ;oP